Chantal Ladesou n’en finit pas de nous faire rire, à 74 ans. Mais l’actrice a perdu son sourire lorsqu’elle a vécu une expérience qui l’a particulièrement effrayée au point de la traumatiser…
Chantal Ladesou n’a pas dit son dernier mot et tant mieux ! Télé, radio, cinéma, l’humoriste n’a pas du tout ralenti le rythme. Elle sera même prochainement à l’affiche du premier film de Samy Nacery, une comédie MDR, avec Jean-Marie Bigard et qui a été tourné cette année. On apprécie aussi particulièrement sa gouaille et sa voix inimitable pour raconter des histoires. Et justement, au micro de France Bleu Azur, elle a confié avoir eu la peur de sa vie quand elle s’est retrouvée, plusieurs heures, enfermée dans le musée Grévin, la nuit.
Chantal Ladesou, la nuit au musée : « la peur de ma vie »
Chantal Ladesou s’est retrouvée enfermée dans le célèbre musée Grévin alors qu’elle jouait dans le théâtre juste au-dessus. « En fait, le gardien du Grévin, qui était fermé, le musée était fermé et quand je sortais de scène, il était à peu près 10H00, 10H30 et il pensait que j’étais sortie. Donc, là quand tout le monde était sorti, il va dîner« , a-t-elle décrit sur France Bleu Azur.
Sauf qu’évidemment, l’actrice était encore à l’intérieur du musée. « J’ai eu la peur de ma vie, car ma loge était tout en haut de l’immeuble, il fallait que je traverse ce musée avec tous ces gens en cire« . Elle n’est sortie qu’à 4h du matin. Heureusement, plus de peur que de mal !
Chantal Ladesou, moquée par ses camarades de Mask Singer
Chantal Ladesou a d’ailleurs récemment confié cette anecdote à ses collègues Laurent Ruquier, Inès Reg, Kev Adams et Camille Combal, sur le plateau de Mask Singer. « C’est à l’époque où ils ont créé le musée Grévin« , a tout de suite rebondi Kev Adams, s’amusant de l’âge de la comique. Fou rire de tous ces comparses.
Laurent Ruquier en a rajouté une couche en touchant son bras et en déclarant : « Attends, je touche pour voir si elle est en cire ou pas« . Visiblement encore traumatisée par cette histoire, la belle-mère de Pauline Lefèvre a continué son récit malgré les blagues : « Quand je suis descendue, j’étais toute seule dans le musée ! J’ai eu la peur de ma vie« . On peut la comprendre….