Ce 14 décembre 2024, Romane Agostinho tentera sa chance sur la scène de l’Arena Futuroscope de Poitiers. Face à 29 autres candidates, toutes plus déterminées les unes que les autres, l’ostéopathe animalier de 27 ans essaiera de remporter la prestigieuse couronne de Miss France 2025. Elle représentera ainsi sa région, l’Auvergne, en direct sur TF1, sous les yeux de Jean-Pierre Foucault.

Romane Agostinho a sauvé son frère : ce jour où tout a failli basculer pour Miss Auvergne 

Un défi palpitant pour celle qui est devenue Miss Auvergne le 8 septembre dernier, à l’Opéra de Vichy. Mais Romane Agostinho – qui s’est récemment retrouvée dans un bad buzz sur Twitter – n’en est pas à sa première tentative. Et pour cause ; la reine de beauté en est à son second coup d’essai puisqu’elle avait déjà tenté sa chance à l’élection régionale en 2022 et était arrivée première dauphine. Cette fois, elle a franchi une étape de plus et s’est préparée avec ses camarades lors du voyage des miss en Côte d’Ivoire.

Sur le plan personnel, Romane Agostinho a vécu une belle frayeur ! Il faut dire qu’elle a sauvé la vie de son frère cadet, comme elle l’a confié en interview à Paris Match. Interrogée sur l’histoire personnelle qui l’a le plus marquée, la miss régionale a répondu du tac au tac : « J’ai sauvé la vie de mon petit frère qui se faisait emporter par une vague alors que nous nous trempions les pieds à l’océan, nous étions très jeunes. » Heureusement, le drame a été évité de justesse.

Romane Agostinho : une Miss Auvergne authentique, proche de la nature et de ses racines

Un épisode qui a forcément dû la marquer, et forger son caractère. Fort heureusement, cet accident n’a pas abîmé son amour pour la nature, l’océan en première ligne. D’ailleurs, celle qui est végétarienne depuis l’âge de six ans a choisi cet élément comme combat de son année de Miss ! Née de deux parents portugais, Romane Agostinho est amoureuse de sa région et de son environnement. Elle a grandi dans le Puy-de-Dôme, et vit aujourd’hui à Beaumont où elle exerce son métier d’ostéopathe animalier bien qu’elle ai dû alléger drastiquement son emploi du temps professionnel ces derniers temps.

Elle n’en reste pas moins attachée à ses racines portugaises.  « Je suis allée au Portugal trois fois cette année. Je ne parle pas malheureusement très bien la langue, mais j’ai envie d’apprendre. Mes parents parlaient en portugais quand j’étais petite pour ne pas qu’on les comprenne, avec mon petit frère », a-t-elle récemment fait savoir.