La série documentaire « Lover, Stalker, Killer : L’ex de l’extrême » de Netflix est tirée d’une histoire vraie. Dave s’inscrit sur une application de rencontre et débute un triangle amoureux qui ira jusqu’à de l’harcèlement, de la manipulation, mais aussi un meurtre.
La série documentaire Lover, Stalker, Killer : L’ex de l’extrême sera disponible sur Netflix ce 9 février 2024. Une application de rencontre peut s’avérer très dangereux, le protagoniste du documentaire, Dave, peut en témoigner.
Quelle est l’histoire vraie derrière ce documentaire ?
En 2012, Dave Kroupa se sépare de la mère de ses enfants et s’inscrit sur une application de rencontre pour des relations sans prise de tête. Il rencontre d’abord Liz Golyar et débute une relation légère. L’homme finit par flirter avec une autre femme, Cari Farver. Cette dernière finit par disparaître en disant par SMS : « Je ne veux plus jamais te revoir, va-t’en, je sors avec quelqu’un d’autre. Je te déteste, encore et encore ».
S’en suit un harcèlement de sms et courriels envers Dave mais aussi Liz, elle dira même que Cari s’est rendue chez elle. En vérité, Cari Farver, mère célibataire de 37 ans, était décédée et Liz se faisait passer pour elle. Liz a surpris Dave et Cari puis a poignardé Cari à mort dans sa propre voiture le 13 novembre 2012.
Pendant 3 ans, elle a envoyé 15 000 e-mails et jusqu’à 50 000 sms en se faisant passer pour Cari. La femme ira même jusqu’à incendier sa propre maison, tuer ses animaux de compagnie et se tirer une balle dans la jambe pour faire croire que Cari était derrière le coup. Flippant..
Netflix raconte cette folle histoire dans « Lover, Stalker, Killer : L’ex de l’extrême »
Le documentaire Lover, Stalker, Killer : L’ex de l’extrême met en avant Dave et la folle histoire autour de son triangle amoureux. En plus des reconstitutions, Dave, des proches ou encore les autorités témoignent dans le documentaire. Cette manipulation sordide a angoissé tout le monde et risque de vous angoisser également. Avis aux amateurs du genre.
En 2017, Liz Golyar a été reconnue coupable de meurtre au premier degré et d’incendie criminel au deuxième degré. Elle a été condamnée à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle.